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Archive for novembre 2011

Objectif marathon cinéma : 75%

Ce matin, nous avons vu Les immortels. Nous, car ce film ayant fait ressortir ma schyzophrénie refoulée, il y a donc eu dans la salle Dông-midinette et Dông-cinéphile.

  • Le pitch, vu du PDV de Dông-cinéphile : le méchant roi Hypérion veut délivrer les Titans, enfermés par les dieux depuis des millénaires, pour gouverner le monde. Les dieux choisissent donc un héros humain pour le combattre : Thésée. Aidé de quelques esclaves en fuite, d’une oracle et de quelques dizaines de soldats survivants, Thésée va se battre pour sauver le monde.

Objectivement, Dông-cinéphile a bien aimé, mais sans plus. Les effets spéciaux sont bien faits, les nombreuses boucheries batailles plus vraies que nature, et les dieux superpuissants comme ils sont sensés l’être, mais bon, l’histoire et la fin sont ultra-prévisibles. Bien, mais pas de quoi casser trois pattes à un canard (grec), quoi.

  • Le pitch, vu du PDV de Dông-midinette : le méchant, cruel et moche roi Hypérion veut délivrer les Titans, enfermés par les dieux depuis des millénaires, pour gouverner le monde. Les dieux, tout dorés et torses nus pour montrer leurs muscles, choisissent donc un héros humain (pas sûre, beau comme il est *bave*) pour le combattre : Thésée *rebave*. Aidé de quelques esclaves en fuite, d’une trop belle oracle et de quelques dizaines de soldats survivants, Thésée va se battre pour sauver le monde (il se bat beaucoup. Voire tout le temps. Sauf quand il flirte avec Phèdre l’oracle. Je la déteste).

Objectivement, Dông-midinette est en-chan-tée. Et définitivement et totalement in love with Henry Cavill ♥. (Vivement 2013 et le nouveau Superman.)

Voilà voilà ^^

(Pour les incultes, Henry, c’est le meilleur copain de Henry VIII dans la série Les Tudors, qu’il faut regarder rien que pour lui.) (Henry ♥. Enfin, le meilleur pote, pas le roi.) (Quelle idée d’avoir des prénoms identiques.)

Disons-le tout net : il serait dans mon jardin, je ne resterais pas devant la télé. Surtout s’il porte son armure de héros grec.

Ca va péter.

Les batailles sont épiques, sanglantes et dégoulinantes (je n’en reviens toujours pas de ne pas grimacer plus) et les méchants ont ce qu’ils méritent, mais malheureusement les gentils meurent aussi (on n’est pas chez Disney) (mais ça ne fait que donner la rage aux héros qui cassent encore plus tout chez les méchants). Thésée est beau à tomber par terre, Phèdre (Freida Pinto, La planète des singes et Or noir) est odieusement jolie… et Dông-midinette a découvert avec plaisir que Zeus est joué par Luke Evans (last seen as Aramis dans les Trois mousquetaires) et Poséidon par Kellan Lutz (Emmett dans Twilight, mais surtout Charlie dans Love wedding marriage).

Et pour votre culture, le narrateur et instructeur de Thésée est John Hurt, qui fait la voix du dragon dans Merlin… ce qui m’a enfin permis de voir à quoi il ressemble (je ne l’imaginais pas du tout comme ça. En tout cas, il ne ressemble pas à un dragon).

Bref, bilan mitigé donc : Dông a apprécié ce film, mais uniquement pour les personnages, quoi.

Et avant de s’enfuir, Dông-midinette ne résiste pas à une dernière, pour le plaisir :

Le futur Superman ♥

*Dông-midinette, sors de là !*

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Objectif marathon cinéma : 60%

Le sort s’acharne sur mon objectif marathon. *petite larme*

« Il était une fois une demoiselle, appelée Dông, qui voulait aller voir Le tableau. Après vérification internetienne, elle apprit qu’il ne passait que samedi et dimanche (sur Paris et dans un cinéma où elle pouvait utiliser sa super carte illimitée). Elle motiva donc une copine pour aller le voir avec elle, et dans l’après-midi du dimanche*, elle sortit guillerettement, direction les quais de Seine.

« Arrivée sur place, elle découvrit avec ravissement un quartier de Paris qu’elle ne connaissait pas encore. En été, cela devait être bien bondé sympa. Avisant le cinéma de l’autre côté du canal, elle traversa donc, avec son amie, le pont, la fontaine et l’escalier couvert de feuilles mortes glissantes, sans rien se casser (admirez l’exploit).

« Mais une méchante sorcière, qui s’était déguisée en architecte, lui avait réservé une surprise : à cet endroit, il y avait deux cinémas, un de chaque côté de l’eau… et évidemment, le film passait de l’autre côté. La méchante sorcière tenait sans doute à ce que Dông se casse deux ou trois jambes.

« Après avoir retraversé l’escalier couvert de feuilles mortes glissantes, la fontaine et le pont, les deux amies entrèrent donc dans le bon cinéma, pour réaliser quelques minutes plus tard que la séance… était complète. Ô rage, ô désespoir, ô foule ennemie, que ne pouvais-tu aller voir Twilight ou Or noir ?

« Dépitées, elles décidèrent, puisqu’elles avait fait le chemin, de voir autre chose. Les films passant dans ce cinéma ne les tentant pas, elles retraversèrent encore une fois le pont, la fontaine et l’escalier couvert de feuilles mortes glissantes (toujours sans rien se casser), et après cinq minutes d’argumentation, choisirent Intouchables. Elles ne l’avaient pas encore vu, et comme elles étaient du coup une heure et demie à l’avance, elles réussirent même à avoir un billet.

« Trois heures plus tard, Dông et son amie ressortirent de leur séance, ravies. »

Moi, les films que tout le monde va voir, j’ai envie de les voir aussi (enfin, presque tous), avec malgré tout une petite réserve sur la capacité des gens à être des moutons. Et comme je suis un mouton même si je ne veux pas me l’avouer, Intouchables était donc dans ma watchlist.

Verdict : j’ai éclaté de rire, pleuré une ou deux fois, pouffé de rire, et même ri aux larmes à un moment. Je ne regrette pas du tout d’être allée le voir et je le conseille fortement à ceux qui ne l’ont pas encore vu. Un peu de rire fait beaucoup de bien. Et ce film montre que même si on est malade ou handicapé, on peut quand même avoir une vie « normale » et vécue à 100 km/h. Bref, que du bonheur ! 😀

____

*Rappelez-vous : le samedi, elle faisait la cuisine, elle n’avait donc pas le temps d’aller au cinéma.

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Objectif marathon cinéma : toujours 45 %

Que je vous explique : ce matin, je voulais faire des truffes au chocolat. (Je vais à un anniversaire ce soir, et je trouvais que ça changeait agréablement des interminables paquets de chips et des bouteilles de coca bateau.) Malheureusement, la pâte au chocolat n’était pas coopérante. Elle coulait. Et franchement, des truffes au chocolat coulantes, c’est pas super glamour, hein. Et puis on s’en met partout quand on essaie de les manger. Bref, j’ai donc fait ce que toute cordon bleu cuisinière ferait : j’ai ressorti les blancs d’oeufs mis de côté au congélateur (on ne sait jamais quand on aura envie de faire des meringues) et fait une mousse au chocolat avec tout ça. (Pour ceux qui s’inquiéteraient de ces expériences culinaires, le léchage de cuillère a certifié qu’elle était délicieuse.)

En attendant donc que la mousse prenne au frigo, j’ai regardé la bande-annonce de L’art d’aimer, que je n’avais pas encore vue. (Oui, il m’arrive de faire des trucs de ouf malade, comme aller voir un film au cinéma sans avoir vu sa BA auparavant. Je vis dangereusement.)

Je pensais aller voir ce film cet après-midi pour occuper ma journée déjà surchargée. Mais il s’est avéré que je n’ai pas du tout, mais alors du tout, aimé la bande-annonce en question. Désolée Gaspard♥, mais tu ne suffiras pas à me motiver pour aller voir ce film. Six couples, six histoires différentes, qui tournent toutes autour du sexe, merci bien, il y a plus intéressant.

C’est donc avec un grand regret pour mon objectif marathon cinéma, qui n’atteindra jamais 100%, mais avec motivation pour m’occuper autrement cet après-midi, que j’ai décidé de ne pas aller voir L’art d’aimer. Qui a dit « Elle se dégonfle » ? Absolument pas :  demain après-midi, je compte bien adorer Le tableau !

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Pan Am

Pan Am, une nouvelle série d'ABC

1963. Maggie, Laura, Kate et Colette sont hôtesses de l’air pour la célèbre compagnie Pan Am. A une époque où voyager en avion est le summum de la classe, nous découvrons la vie de ces hôtesses et pilotes que le monde entier envie… ou presque. Car entre jalousie, intrigue, espionnage et guerre froide, tout n’est pas rose à 40 000 mètres d’altitude, surtout quand on possède un passé chargé de mystères…

Mais comment faire le tri dans le tombereau de nouvelles séries qui débarquent chaque semaine ?

Laissez-moi vous aider. Pensez 60’s, glamour, belles coiffures, uniformes, hôtesses de l’air (quelle petite fille n’a pas rêvé d’en être ?), pilotes d’avion, Christina Ricci (que j’ai tellement aimée dans Penelope), et pour flatter notre ego, un personnage français. La classe, quoi.

Comment ne pas vouloir regarder le premier épisode, après ça ? (Et trépigner pour voir la suite, du coup ?)

Dean, Kate, Laura, Colette, Maggie et Ted

Mais permettez-moi de vous présenter votre équipage : Dean, votre jeune et beau commandant de bord, Ted son second, Kate l’aventurière, Laura la mariée en cavale, Colette la Française et Maggie, la rebelle qui veut voir le monde. Tout ce petit monde se croise et se recroise, et nous n’avons pas fini de découvrir leurs secrets.

Seul problème du premier épisode : pour nous présenter tous ces personnages, nous avons droit à beaucoup de flashbacks. J’aime beaucoup les flashbacks, mais trop c’est trop, et ça rend l’épisode un peu dur à suivre, du moins au début. Enfin, une fois qu’on a mis un visage sur les noms, ça va mieux.

Sur ce, je file, l’épisode 2 m’attend je décolle dans une heure pour une destination exotique. Je vous raconterai !


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Objectif marathon cinéma : 45%

Moi, on me parle d'amour et de malédiction, je fonce

Mais bon, c’est une déception. Petite, mais quand même. Hideaways, c’était un pitch intéressant, trois acteurs jeunes mais talentueux, Rachel Hurd-Wood (Peter Pan, Le portrait de Dorian Gray), Thomas Brodie Sangster (Nanny McPhee, La dernière légion, Tristan et Yseult) et Harry Treadaway (La cité de l’ombre), trois acteurs que j’aime bien, quoi, et l’histoire s’avère culcul. Si.

Jugez-en vous-même. Dans la famille Furlong, les garçons ont tous un « don » : le père fait sauter les plombs quand il a peur, le grand-père devient aveugle quand il pense au sexe… ou encore, et c’est là le problème, James tue tout ce qui vit, hommes, plantes et animaux, sans pouvoir se contrôler, en cas de peur ou de maladie. C’est ainsi qu’après avoir tué par accident plusieurs garçons de son école, il s’enfuit dans la forêt. Dix ans plus tard, il rencontre Mae, jeune fille cancéreuse en fugue. Patati patata (je vous épargne les détails clichéesques), évidemment, ils tombent amoureux (vous n’attendiez que ça, avouez-le ^^). Et là, BIM, on découvre que quand James est heureux, sa malédiction se transforme en vrai don : les plantes renaissent, les animaux reviennent et les malades guérissent. Le problème, c’est que James est un meurtrier, et que son passé va lui sauter au visage.

On ne m’accusera pas de faire des spoilers, alors je ne vous révélerai pas la fin, na. Sachez juste qu’elle ne me plaît pas du tout, même si elle est over prévisible (en fait, c’était mon scénario numéro 2), ce qui vous permettra sans doute de la deviner. :p

Quoi de plus culcul que d’habitude certains autres films, alors ? Eh bien, la façon de jouer des acteurs, le montage des scènes, et puis les clichés. Un peu c’est bien, trop c’est trop. Mais surtout, surtout, la fin, que je trouve bâclée. Une bonne fin peut rattraper un film médiocre ; ici le début est prometteur, mais ne réussit pas à tenir ses promesses. Dommage.

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Ca fait une éternité que je n’ai pas raconté de bêtises. Alors voilà :

Recette des crêpes au whisky :

Préparez la pâte. Buvez un whisky. Faites chauffer une poêle. Buvez encore 2 whiskys. Mettez de l’huile dans la poêle. Mélangez une cuillère avec la pâte. Buvez whiskys 3 encore. Mettez un peu de poêle dans la pâte. Patelez bien l’étale. Cherchez une autre wouteille de bisky. Crépez la tourne. Faites cuire le whisky encore une petute minite. Sortez la poêle de la crêpe. La crêpe relevez du plancher. Beurrez du mettre cure la sêpe. Crêpez le sucre. Tes la mable et loivà !

Les aventures de Severus Snape :

Severus Snape and the Volume-less Hair Style

Severus Snape and the Volume-less Hair Style

Severus Snape and the Volume-less Hair Style

Severus Snape and the Volume-less Hair Style

Severus Snape and the Volume-less Hair Style

Severus Snape and the Volume-less Hair Style

Severus Snape and the Year He Discovered the Blow dryer

Doctor Who. Toujours.

Parce que ça :

Et ça :

Et ça, aussi :

Et puis je crois que j’ai besoin d’un câlin

Parce que c’est pas juste

Andreeeew ♥

Voilà :

Doctor ♥

Mais bon, tout ira bien, parce que :

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Objectif Marathon ciné : 30%.

Deuxième étape du marathon : Or noir, de Jean-Jacques Annaud. C’était très sympa, mais pas autant que Time out, ne vous en déplaise (faut croire que je préfère la SF).

Années 30, Ceinture Jaune. Deux sultans se rencontrent pour signer la paix. Le vaincu, Amar, laisse ses deux fils au vainqueur, Nessib, comme gage de bonne volonté ; ils seront élevés comme ses propres fils. La Ceinture Jaune est déclarée zone neutre, personne ne pourra la revendiquer.

Quinze ans plus tard, les Américains débarquent : ils ont trouvé du pétrole dans le sol de la Ceinture Jaune. Nessib, qui ne cherche qu’une chose, être riche et moderne, leur permet d’exploiter les gisements. Avec l’argent qu’il gagne, il construit des écoles, des hôpitaux… Malheureusement, Amar le prend comme une violation du traité.

C’est le début d’une nouvelle guerre, où Auda, le fils d’Amar, élevé par Nessib et marié à sa fille, devra choisir son camp.

Pour moi, la beauté du film réside surtout dans les paysages, justes splendides. Les scènes de bataille où la troupe d’Auda tend piège après piège à ses ennemis sont très bien trouvées, on a le cœur qui se serre de peur et d’horreur quand certains tombent sous les balles ou la soif, et mon cœur de midinette a beaucoup apprécié les échanges entre Leyla et Auda (que voulez-vous, on ne se refait pas).

Mon moment préféré du film ? Nessib qui hurle : « Auda, le Mahdi ? Il est bibliothécaire, nom d’un chien ! » Je l’ai toujours dit : les bibliothécaires conquerront le monde ! 😀

Mon personnage préféré ? Le médecin, Ali ♥. Il est cynique, ironique, drôle, je l’aime.

Et une pensée jalouse pour le superbe turban vers d’Amar, transmis de père en fils. Je veux le même.

Auda

Amar

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Objectif Marathon ciné : 15%.

Hier soir, j’ai vu Time out. Bilan : j’ai a-do-ré.

Pour les quelques extra-terrestres qui ne suivraient pas du tout l’actu ciné mais liraient quand même ce post, je pitche :

*Voix d’outre-tombe* Dans un futur pas si lointain que ça, les Hommes sont génétiquement modifiés pour arrêter de vieillir à vingt-cinq ans. Il leur reste ensuite un an à vivre, sauf s’ils peuvent acheter du temps. Car ici, le temps est littéralement de l’argent. Tout se paie avec du temps : un café ? Quatre minutes. Une voiture décapotable ? Cinquante-sept ans. Un péage ? Ca dépend où vous voulez vous rendre ! De un jour à… un an. Et quand votre compteur atteint zéro, vous mourrez. Mais heureusement, Will Salas est là ! *roulements de tambour* Et il va faire tout péter pour tenter de changer le système.

Bon, on m’avait prévenue que tout le monde était jeune, dans ce film, mais on ne m’avait pas dit que tout le monde était beau. C’est prévu génétiquement aussi ? Parce que franchement, mon petit cœur n’arrivait plus à suivre. Entre ♥Cillian Murphy♥ le Gardien du Temps et ♥Alex Pettyfer♥ le voleur de temps (son troisième film cette année, quand même !), sans parler de tous les figurants anonymes (mais beaux), c’est du sacré casting !

Les dix premières minutes de Time out sont assez perturbantes, surtout quand on voit Will (Justin Timberlake) souhaiter un joyeux anniversaire à sa mère, vint-cinq cinquante ans. Le fait que le temps soit l’argent dans l’histoire est assez difficile à intégrer, car on peut très bien avoir un siècle à son compteur, il suffit d’une minute pour tout perdre (vous suivez ?). Autre problème, comme le soulève le père de l’héroïne : comment savoir qui est qui, puisque les parents ont le même âge que les enfants ? Will craque ainsi sur Sylvia (Amanda Seyfried, de Mamma mia, Lettres à Juliette...) sans savoir si elle a vingt-cinq ans depuis un an ou deux cents ans.

La preuve par l'image : la grand-mère (à gauche) et la mère (au centre) de Sylvia (à droite)

Autre chose : dans ce film, on court beaucoup. Quand on n’a que quelques heures à vivre, on ne fait pas la grasse matinée, n’est-ce pas. Et Will et Sylvia, qui veulent redonner du temps aux gens, vont beaucoup courir pour ne pas se faire attraper par les Gardiens du Temps ou les voleurs de temps, et refiler leurs petites boîtes pleines de minutes aux personnes des zones pauvres en temps.

Ce qui m’amène au seul point improbable que j’ai trouvé (oui bon, les modifications génétiques sont improbables aussi, mais c’est de la SF, les gens, suivez un peu) : Sylvia est une rebelle very sexy, en talons de douze et jolies robes, mais quelqu’un peut-il m’expliquer pourquoi elle ne porte pas plutôt des baskets ? Pour courir, on n’a pas encore trouvé mieux… Surtout quand on n’a pas le temps de se casser une cheville.

En conclusion : un bon démarrage pour ce marathon ciné. La suite, Or noir, demain normalement.

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